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L'exemple autochtone sur l'autre berge du Niger. Le pied de la berge est protégé par une broussaille impénétrable de Mimosa, Sesbania et Akazia. Cette broussaille sert de frayère et zone de protection pour les alevins pendant le période d'inondation
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Un maraîcher au travail dans son jardin en amont de notre zone d'intervention. Il faut retenir que ce terrain est la propriété publique sous l'administration de la direction nationale hydraulique.
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L’aspect de la berge de Souban au début de notre travaille avec l'érosion avancé jusqu'aux premiers constructions.
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A cet endroit on peut bien discerner le mécanisme de l'érosion. A la hauteur d'eau de l’inondation (stable pour 3 mois) la berge est sapée. Ensuite des gros blocs sont renversés et disloqués par le flot.
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Fin d'une journée d’entrainement de construction des murs en technique de gabion et de mur sèche
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Apres quelques jours, la construction en mur sèche se déroule de façon chevronnée
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La mise en place de la couche drainante en gravier entre le mur et le remblai
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En tout nous avons érigés 270m de mur en pierre sèche et récupérés 3500m2 de terres maraichères
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Les marches de l'escalier sont encastrées dans le mur dans la direction d'écoulement
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Novembre 2013, plantation des arbustes sur les terrasses libérées par la crue
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Fevrier 2014, les terrasses sont utilisées conformement aux previsions du projet
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Ici la plantation vient de commencer, malheureusement la qualité de terre n'est pas conforme aux objectifs
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En mois de Mai presque tous les lots ont était attribués
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August 2014, les survivantes des haies ont bien grandi
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Mais à cause du désengagement de la KfW le terrain est redevenu un bien public
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Ceci est l'aspect du site en Janvier 2015 : les murs en pierre sèche sont entièrement négligés et objet de vandalisme.
